Métiers du secteur agricole et espaces verts : Michaël, témoignage d’une ascension professionnelle réussie

Magasinier puis vendeur et enfin responsable du service pièces détachées, Michaël nous raconte son évolution en seulement quelques mois au sein d’une concession de matériels agricoles et d’espaces verts. Un exemple à suivre…

Quelles étaient vos motivations pour votre premier poste de magasinier ?

J’ai postulé chez Cloué parce que je trouvais le contenu du poste et le projet intéressants. Ce qui m’a plu, c’est avant tout l’esprit de famille mais aussi les possibilités d’évolution de carrière. Depuis peu, je suis d’ailleurs passé responsable du service pièces détachées et libre-service. Au quotidien, ce que j’aime par-dessus tout dans mon métier, ce sont certainement les relations avec les clients.

Quelles étaient les perspectives d’évolution ?

J’ai débuté en tant que magasinier, puis au bout de deux mois seulement, on m’a proposé d’être magasinier-vendeur. Enfin, au terme de ma période d’essai, le jour même de mon embauche effective, on m’a demandé si le poste de responsable pièces détachées et libre-service m’intéressait. Si l’on prouve, dans cette entreprise, que l’on est capable de faire d’autres choses, ce sont les responsables eux-mêmes qui viennent vous présenter des postes. C’est ce qui s’est passé pour moi, d’ailleurs.

Quelles sont vos missions au quotidien ?

Le matin, dès que j’arrive, je prépare le magasin. Ma mission consiste essentiellement en la préparation des pièces détachées, pour les clients mais aussi pour l’atelier. Viennent ensuite les commandes, la gestion des stocks et, surtout, le bon fonctionnement du magasin.

Diriez-vous que c’est un secteur prometteur pour l’avenir ?

Les matériels auront toujours besoin d’être entretenus. C’est quelque chose qui ne changera jamais. On continuera toujours à vendre des pièces détachées, même pour des machines qui ont trente ans d’âge, voire davantage. De plus, la motoculture n’est plus seulement un métier, c’est aussi devenu une passion pour certains clients. Pour toutes ces raisons, je pense que c’est un métier d’avenir, qui va évoluer constamment.

Quels conseils donneriez-vous aux personnes intéressées par ces métiers ?

À ceux qui souhaitent devenir magasinier, je conseille de suivre une petite formation en vente. Avoir des bases en mécanique représente aussi un petit plus. Ces connaissances peuvent être intéressantes car, souvent, il faut aller chercher des pièces sur des vieux matériels éclatés.
De toute façon, comme pour tout travail, il y a une période d’essai. Mais si vous l’essayez, c’est sûr, vous allez l’adopter !

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